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Archive de la catégorie 'ECOLOGIE'

Malgré le fait que l´on connaisse les conséquences négatives sur l’environnement, des tonnes de mercure dérivées des amalgames de plombage finissent chaque année dans les égouts publics des États-Unis. Fin septembre, l’Environmental Protection Agency (EPA) a proposé de nouvelles mesures, visant à réduire les menaces résultant d´une mauvaise élimination des déchets notamment en imposant aux dentistes de tous les États-Unis d’employer des séparateurs d’amalgame.

Avec la nouvelle réglementation, qui fait partie de la Loi sur l’assainissement de l’eau, l’Agence espère diminuer les rejets métalliques toxiques, y compris le mercure, au moins de 8,8 tonnes par an. Afin de réduire la charge financière pour les États et les localités qui devront mettre en œuvre et superviser les nouvelles règles, l´EPA a annoncé des initiatives visant à simplifier les exigences de surveillance de l’industrie dentaire. Après l’assujettissement à une période de consultation publique et d’audience en novembre, la mesure devrait entrer en vigueur en septembre, l’année prochaine.

D´après l’EPA, près de 3,7 tonnes de mercure par an provenant des cabinets dentaires, sont libérées aux États-Unis. Selon le Zero Mercury Working Group, 50 % du mercure total est libéré dans le système public de traitement des eaux usées par les industries dont la dentisterie. Les séparateurs d’amalgames ont d´ores et déjà montré leur efficacité dans le domaine du métal toxique, pourtant à ce jour, seul 12 États, dont New York et le Massachusetts, ont préconisé leur utilisation dans les cliniques dentaires. Selon les nouvelles règles, les dentistes de tous les états devront installer et utiliser ces systèmes en permanence.

Source dentaltribune

Le projet d’une démarche RSE (responsabilité sociétale des entreprises) pour la profession dentaire est initié. Depuis, l’ADF a réalisé de nombreuses actions :

Un premier baromètre début 2012 a permis de cerner la compréhension et la perception de la profession sur ces sujets et de mettre en évidence les actions existantes dans les cabinets dentaires.

À l’issue de cette analyse, une Charte de développement durable de l’ADF a été élaborée et diffusée à l’ensemble des praticiens. La thématique a été intégrée au Congrès 2012 avec la publication du Guide du développement durable et l’installation d’un stand et de plusieurs animations ; à cette occasion, de nombreuses signatures ont été recueillies pour témoigner de l’engagement de la profession à soutenir cette démarche initiée par l’ADF.

L’état des lieux réalisé au début de l’année 2012 a montré un terrain très favorable au déploiement de démarches autour de la notion de développement durable. L’ADF a choisi de donner une suite à ces premiers actes et de définir une stratégie de responsabilité sociale et environnementale de la profession dentaire.

Un deuxième baromètre Développement durable a été lancé en septembre-octobre 2013. Voir les résultats

– Novembre 2013 : à l’occasion de son Congrès annuel, où le développement durable est encore une fois mis à l’honneur sur un stand dédié, l’ADF publie un nouveau guide qui présente Des gestes simples pour un résultat efficace et insiste sur la responsabilité environnementale de la profession dentaire dans son communiqué de presse Le chirurgien-dentiste, acteur de santé publique éco-responsable

À regarder : Comment rendre notre exercice plus vert ?
Interview de Julien Laupie, secrétaire général adjoint de l’ADF, au Congrès 2013, suite à la séance Carrefour professionnel du 29 novembre consacrée au développement durable

Avril 2014 : dans le cadre de la Semaine du Développement durable, organisée par le ministère de l’Écologie, du Développement durable et de l’Énergie du 1er au 7 avril, l’ADF met en place une e-campagne de sensibilisation et d’information sur les gestes éco-responsables au cabinet dentaire. Cinq tweets sont envoyés tous les jours pour aider les praticiens à agir concrètement en faveur du développement durable dans leurs cabinets. Économies d’eau, d’énergie, réduction et recyclage des déchets, consommation responsable… quelques idées de gestes simples et d’actions pour améliorer l’impact de nos activités sur l’environnement.

À regarder : Dentiste écolo, des mesures contre le gaspillage
Comment faire sa révolution verte au cabinet dentaire ? Tous les bons gestes expliqués par le Dr Paul Cattanéo dans l’émission Le magazine de la santé – France 5 – 31 mars 2014

Source ADF

Une étude publiée dans la revue American Journal of Pathology (Juin 2013) montre que la formation des dents peut être affectée par une exposition à de faibles doses de bisphénol A (BPA) – une molécule omniprésente utilisée dans les plastiques et les résines des boîtes de conserve, qui imprègne 95 % de la population. Surtout, ils suggèrent qu’une maladie émergente – l’hypominéralisation des molaires et des incisives (MIH) – pourrait être due à une exposition au BPA dans la période périnatale. Ce trouble nouveau n’avait jusqu’à présent jamais été fermement attribué.

« Le MIH est une pathologie récemment décrite, caractérisée par des taches blanchâtres ou jaunes sur les premières molaires ou les incisives permanentes, explique Sylvie Babajko (Inserm), qui a dirigé ces travaux. Les études épidémiologiques menées jusqu’à présent donnent une grande amplitude de prévalence, entre 2,5 % et 40 %, selon les régions du monde et/ou les critères de diagnostic, mais on peut considérer qu’en moyenne, cette pathologie concerne environ 16 % à 18 % des enfants. » Ce défaut de minéralisation est bénin, mais il peut rendre les dents plus fragiles, en particulier plus susceptibles à la carie. Lorsqu’il touche les incisives, il peut être assez disgracieux.

RÉSULTATS SANS AMBIGUÏTÉ

Pour les auteurs, le MIH pourrait ainsi être le signe visible d’une exposition au BPA – ou à des molécules présentant un mode d’action similaire – pendant les périodes-clés du développement. Or un grand nombre de travaux menés sur l’animal ou d’études de cohortes humaines montre que l’exposition au BPA in utero ou aux plus jeunes âges de la vie est associée à des probabilités accrues de développer certaines pathologies, plus tard dans la vie : obésité et diabète de type 2, cancers hormono-dépendants (sein, prostate), troubles de la reproduction, troubles neuro-comportementaux, etc. Ces recherches pourraient donc permettre un suivi plus attentif de certains enfants atteints de MIH.

Les résultats présentés par les auteurs sont sans ambiguïté. Deux groupes de seize rats mâles ont été étudiés. Le groupe témoin n’a pas été mis en contact avec du BPA. Le second groupe est issu de femelles ayant été exposées par voie orale, dès la conception, à une dose quotidienne de 5 microgrammes par jour et par kilo de poids (5 µg/j/kg) de BPA, soit un niveau d’exposition dix fois plus faible que la limite théoriquement acceptable, calculée par l’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA). Ensuite, après leur naissance, dès leur sevrage, les rats ont été eux-mêmes soumis à ce régime.

« Un tel protocole mime au plus près la situation rencontrée dans la population humaine, puisque l’exposition au BPA est quasi permanente », dit Mme Babajko. Résultat : les trois quarts des rats exposés présentent des taches opaques sur les incisives, analogues au fameux MIH, remarqué ces dernières années chez les enfants. A l’inverse, aucun rat témoin n’a développé l’anomalie.

Les auteurs n’en sont pas restés aux ressemblances visuelles. Ils ont analysé l’émail des dents des rongeurs et celles d’humains atteints et constatent des analogies dans la composition de l’émail défectueux – avec une teneur plus faible en minéraux. Au microscope, les mêmes défauts de structure apparaissent dans un cas comme dans l’autre. Les chercheurs ont, de plus, identifié le mécanisme d’action du BPA : celui-ci influence l’expression de deux gènes impliqués dans la formation de l’émail.

Ces travaux devront être confirmés par d’autres études testant plusieurs niveaux d’exposition, sur des mâles et des femelles – une seule dose ayant été testée, uniquement sur des mâles. En l’état, ces travaux ne permettent pas d’attribuer au BPA (ou aux molécules ayant un mode d’action comparable) l’ensemble des MIH constatés chez les jeunes enfants, mais ils suggèrent que de larges franges de la population sont exposées – principalement à travers l’alimentation – à des doses bel et bien actives de BPA.

Banni en 2011 des biberons, le BPA sera interdit en France dans tous les contenants alimentaires à partir de 2015.

http://www.lemonde.fr/planete/article/2013/06/11/le-bisphenol-a-altererait-l-email-des-dents-des-enfants_3427711_3244.html

NIIGATA, Japon / SINGAPOUR : Selon les chercheurs de l’université dentaire japonaise de Niigata au Japon, les champs électromagnétiques à basse fréquence produits par les appareils dentaires courants, tels que les brosses à dents électriques et les lampes à polymériser, sont une menace potentielle pour la santé. Ils ont constaté que ces dispositifs provoquent des courants électriques importants, non seulement dans plusieurs appareils intra-oraux métalliques, mais aussi sur les dents.

Alors que les effets de ces courants, en particulier à long terme, restent encore largement inconnus, il a été démontré qu’ils jouent un rôle dans le développement de maladies systémiques, comme la leucémie et les tumeurs du système nerveux central, ont déclaré les chercheurs. À l’intérieur de la bouche, ils peuvent conduire à la corrosion des appareils métalliques, favorisant les allergies aux métaux et provoquant une gêne pour le patient.

L’exposition à ces dispositifs chez les patients doit être éliminée ou réduite, par l’introduction de nouvelles normes de sécurité ou des améliorations de la technologie actuelle.

Les chercheurs ont mesuré les courants électriques induits par les champs magnétiques produits par cinq brosses à dents électriques disponibles dans le commerce, et trois lampes à polymériser de fréquence de 1-2 000 Hz, à l’aide d’un multimètre. Les courants ont été détectés dans des appareils dentaires fabriqués avec divers métaux, y compris dans les brackets en zircone, plus susceptibles d’induire des courants, ainsi que dans les tissus durs humains.

Les résultats des tests ont été publiés récemment dans le Journal of Electrical and Electronic Systems.
Source : http://www.dental-tribune.com

Bioseptyl, marque française spécialiste de l’hygiène bucco-dentaire, s’est engagée dans une démarche d’éco-conception de ses produits et de ses emballages. Au travers de Bioseptyl s’exprime l’engagement d’une PME française, qui a choisi de mettre le développement durable au coeur de sa stratégie. Conception, fabrication, conditionnement, toute la chaîne de production bénéficie de l’engagement éco-responsable de la marque.Avec 20 % de plastique en moins, l’Ultimum est la brosse à dents de référence pour tous les soucieux de l’avenir environnemental. L’idée de Bioseptyl : développer des brosses à dents aux manches creux qui permettent d’utiliser moins de matière. Une astuce simple qui apporte également une ergonomie nouvelle et un manche plus souple pour un meilleur confort de brossage. Elle a donc naturellement été ajouté à la charte environnementale de la marque sur le packaging, à savoir : une carte de blister fabriquée en France en carton recyclé, une coque en PET plutôt qu’en PVC (moins polluant), une impression des blisters utilisant des encres végétales et labellisée Imprim’vert. Avec sa tête brevetée, cette brosse à dents allie efficacité et écologie.
Sans parabène, sans triclosan, ni chlorhexidine, les produits d’hygiène bucco-dentaire Bioseptyl contiennent un complexe moléculaire antibactérien naturel issu du citrus, pour être plus respectueux de la santé et de l’environnement. Une éco-conception des produits unique dans le rayon « Hygiène Bucco-Dentaire », qui se retrouve également dans le packaging.
En effet, le parti pris environnemental de Bioseptyl sur la fabrication de ses dentifrices et de ses bains de bouche ne s’arrête pas là ! La marque a décidé de vendre ces produits sans packaging individuel, dans des displays libre-service, pour utiliser moins de carton.

Pour un boinne hygiène bucco-dentaire, le fil dentaire doit être passé quotidiennement, pour enlever la plaque dentaire au niveau inter-proximal (la zone entre deux dents).
En effet, la brosse à dents ne peut nettoyer cette zone, qui sera donc exposée aux pathologies : caries (appelées ici « caries proximales », au niveau du point de contact des dents) ; gingivite et parodontite.
Le fil dentaire est habituellement en nylon, en téflon ou en polyéthylène.
Il peut être ciré ou non ciré. Le fil ciré est plus facile à passer. Le fil non ciré est plus efficace.
Eco-Dent est une société américaine qui est spécialisé dans les produits dentaires d’après leur site ils n’utilisent que des produits de très haute qualité et aucunes substances chimiques
VeganFloss est un produit naturel à la saveur cannelle. VeganFloss ne contient pas de menthe (il est donc adapté pour les personnes se soignant avec des produits homéopathique) VeganFloss est exempt d’ ingrédients d’origine animale.
Ce fil dentaire est traité avec des enzymes et 14 huiles essentielles naturelles, il est ciré avec du son de riz, pas de cire d’abeille, il est donc en nylon et non pas en soie, pratique, dans un emballage carton recyclable et biodégradable et contient 100mètre de fil par paquet.

En pratique :
Le fil dentaire se présente sous la forme d’une bobine dans une petite boîte. Il faut en prendre une longueur de quarante centimètres environ. Les extrémités sont enroulées autour des index ; le guidage se fait avec les pouces. Le fil tendu est placé entre deux dents ; on effectue un mouvement de va et vient pour passer le point de contact. Quand le fil est dans l’espace inter-proximal, on le plaque contre la face d’une dent puis de l’autre, et on ressort. Il faut faire cela entre toutes les dents.

Alors qu’une nouvelle séance de négociations internationales sur le mercure doit avoir lieu sous l’égide de l’ONU, du 31 octobre au 4 novembre, plusieurs associations française ont lancé un cri d’alarme, jeudi 27 octobre, estimant que l’utilisation du mercure dentaire est toujours préoccupante en France. Pour ces organisations non gouvernementales – Non au mercure dentaire, le Réseau environnement santé (RES), l’Association toxicologie-chimie – le mercure dentaire, utilisé dans 70 % des amalgames de molaire ou de prémolaire en France – est purement et simplement « un poison ».
Les ONG ont calculé que les amalgames dentaires que les dentistes utilisent pour obturer les caries contiennent 50 % de mercure et concluent que chaque année on met ainsi « plus de 17 tonnes de mercure dans la bouche des Français ». Elles parlent d’un « nouvel exemple de dysfonctionnement de la sécurité sanitaire », alors que « des centaines d’études scientifiques » incriminent le mercure dentaire, ajoute Marie Grosman, du collectif Non au mercure dentaire.

Elle dénonce la position « isolée et incohérente », qui tout en travaillant pour la réduction de l’exposition au mercure de la population de 30 % d’ici 2013, reste, selon elle, le « seul pays qui s’est officiellement opposé à l’arrêt des amalgames dans l’Union européenne ». En effet, le Conseil de l’Europe a adopté en mai une résolution invitant à « la restriction, voire l’interdiction des amalgames comme matériaux d’obturation dentaire ». La Norvège, la Suède et le Danemark ont carrément interdit l’amalgame dentaire.

« JAMAIS EU DE PREUVE SCIENTIFIQUE QUE C’EST DANGEREUX »

Pour le toxicochimiste André Picot, le mercure est « un CMR (cancérogène, mutagène et reprotoxique) », qui est toxique aussi pour les systèmes nerveux, immunitaire et hormonal ». Il est « impossible de définir une dose d’exposition sans danger » pour la population fragile, comme les femmes enceintes et les enfants, ajoute-t-il. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) suggère l’utilisation de matériaux alternatifs. Selon les associations, les produits de remplacement, à base de verre dit « ionomère », ont « fait leurs preuves » : ils permettent d’enlever moins de dent, sont aussi bien remboursés que les amalgames, pour une longévité « au moins identique ».

Roland L’Herron, président de la Confédération nationale des syndicats dentaires, affirme pour sa part qu’il n’y a jamais eu de preuve scientifique que c’est dangereux pour la santé ». A ses yeux, les mises en garde et interdiction n’existent que pour des raisons environnementales, pour éviter les rejets de mercure, très polluants. En outre, la demande est moins forte, « pour des raisons esthétiques », ajoute-t-il. Quant aux produits de remplacement, ils estiment qu’ils sont « moins résistants à l’abrasion et très sensibles à l’humidité ». Marie Grosman demande la fin des amalgames dentaires, mais « très progressivement et de façon très précautionneuse », car une dépose hâtive peut « faire courir de grands risques ». Un point sur lequel les dentistes sont d’accord.

http://www.lemonde.fr/planete/article/2011/10/27/des-ong-denoncent-l-utilisation-du-mercure-dentaire-un-poison-dans-la-bouche-des-francais_1595323_3244.html

Utilisée pour se laver, se chauffer ou manger, l’énergie solaire pourrait bientôt nous permettre de nous brosser les dents sans dentifrice. Le Dr Kunio Komiyama, émérite professeur de médecine dentaire de l’Université du Saskatchewan (Canada), a présenté ce projet en juillet dernier, lors du congrès de la Fédération Internationale des dentistes (FDI) qui s’est tenu à Dubaï, la Soladey-J3X.

Dotée d’un petit panneau solaire situé dans la base de la brosse à dents, la ‘Shiken Soladey-J3X’ transmet un flux d’électrons jusqu’aux poils de la brosse grâce à un petit fil de plomb. Ces électrons réagissent avec l’acidité de la salive ; et cette réaction chimique permet de lutter contre la plaque et les bactéries sans recours à la pâte dentifrice. Bien que cette invention fonctionne avec aussi peu de lumière qu’une calculatrice solaire, la seule contrainte est de ne pas se brosser les dents dans le noir.

Les chercheurs ont déjà testé la brosse à dents sur des souches de bactéries connues pour être à l’origine de maladies parodontales. Les résultats sont plutôt concluants. L’efficacité du procédé chimique de la Soladey-J3Y a doublé par rapport au prototype mis au point il y a quinze ans par le professeur Kunio Komiyama. Aux dires de ce dernier, la Soladey-J3X  assure ‘une destruction complète des cellules bactériennes‘.

Actuellement, le Dr Kunio Komiyama, professeur émérite de médecine dentaire de l’Université du Saskatchewan, et son collègue, le Dr Gerry Uswak, approfondissent leurs tests auprès de 120 adolescents qui vont se brosser régulièrement les dents avec la Soladey-J3X ; et qui seront suivis de près par des dentistes pour vérifier son efficacité. Les expériences des chercheurs canadiens sont financées par la société japonaise Shiken. Le but étant de s’assurer que la Soladey-J3X peut être commercialisée à grande échelle.

Selon une étude menée par un fabricant de dentifrice, en France, 50% des enfants de moins de 6 ans ne se sont jamais brossés les dents. Ce qui inquiète les spécialistes. Espérons que cette invention favorisera les bonnes pratiques de santé bucco-dentaire.