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Archive de octobre, 2011

Alors qu’une nouvelle séance de négociations internationales sur le mercure doit avoir lieu sous l’égide de l’ONU, du 31 octobre au 4 novembre, plusieurs associations française ont lancé un cri d’alarme, jeudi 27 octobre, estimant que l’utilisation du mercure dentaire est toujours préoccupante en France. Pour ces organisations non gouvernementales – Non au mercure dentaire, le Réseau environnement santé (RES), l’Association toxicologie-chimie – le mercure dentaire, utilisé dans 70 % des amalgames de molaire ou de prémolaire en France – est purement et simplement « un poison ».
Les ONG ont calculé que les amalgames dentaires que les dentistes utilisent pour obturer les caries contiennent 50 % de mercure et concluent que chaque année on met ainsi « plus de 17 tonnes de mercure dans la bouche des Français ». Elles parlent d’un « nouvel exemple de dysfonctionnement de la sécurité sanitaire », alors que « des centaines d’études scientifiques » incriminent le mercure dentaire, ajoute Marie Grosman, du collectif Non au mercure dentaire.

Elle dénonce la position « isolée et incohérente », qui tout en travaillant pour la réduction de l’exposition au mercure de la population de 30 % d’ici 2013, reste, selon elle, le « seul pays qui s’est officiellement opposé à l’arrêt des amalgames dans l’Union européenne ». En effet, le Conseil de l’Europe a adopté en mai une résolution invitant à « la restriction, voire l’interdiction des amalgames comme matériaux d’obturation dentaire ». La Norvège, la Suède et le Danemark ont carrément interdit l’amalgame dentaire.

« JAMAIS EU DE PREUVE SCIENTIFIQUE QUE C’EST DANGEREUX »

Pour le toxicochimiste André Picot, le mercure est « un CMR (cancérogène, mutagène et reprotoxique) », qui est toxique aussi pour les systèmes nerveux, immunitaire et hormonal ». Il est « impossible de définir une dose d’exposition sans danger » pour la population fragile, comme les femmes enceintes et les enfants, ajoute-t-il. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) suggère l’utilisation de matériaux alternatifs. Selon les associations, les produits de remplacement, à base de verre dit « ionomère », ont « fait leurs preuves » : ils permettent d’enlever moins de dent, sont aussi bien remboursés que les amalgames, pour une longévité « au moins identique ».

Roland L’Herron, président de la Confédération nationale des syndicats dentaires, affirme pour sa part qu’il n’y a jamais eu de preuve scientifique que c’est dangereux pour la santé ». A ses yeux, les mises en garde et interdiction n’existent que pour des raisons environnementales, pour éviter les rejets de mercure, très polluants. En outre, la demande est moins forte, « pour des raisons esthétiques », ajoute-t-il. Quant aux produits de remplacement, ils estiment qu’ils sont « moins résistants à l’abrasion et très sensibles à l’humidité ». Marie Grosman demande la fin des amalgames dentaires, mais « très progressivement et de façon très précautionneuse », car une dépose hâtive peut « faire courir de grands risques ». Un point sur lequel les dentistes sont d’accord.

http://www.lemonde.fr/planete/article/2011/10/27/des-ong-denoncent-l-utilisation-du-mercure-dentaire-un-poison-dans-la-bouche-des-francais_1595323_3244.html

Selon plusieurs associations, le mercure dentaire serait dangereux pour la santé. Présent dans 70% des plombages, il serait toxique pour le système nerveux, immunitaire et hormonal.


La mauvaise haleine procure un état d’inconfort permanent. De nombreux facteurs peuvent être la source de ce problème organique. Que la mauvaise haleine soit d’origine hygiénique ou infectieuse, les remèdes à base d’huiles essentielles sont toujours les meilleurs moyens de la traiter.
La prolifération des microbes et des bactéries dans l’intérieur buccal est souvent la cause d’une mauvaise haleine. Les plaques dentaires et les zones sublinguales sont les parties les plus ciblées par ces hôtes indésirables. L’usage d’huiles essentielles antibactériennes est ainsi recommandé pour y remédier. Ces huiles essentielles peuvent être utilisées de plusieurs manières. Vous pouvez par exemple les diluer dans de l’eau fraîche pour servir de bain de bouche désinfectant. Certaines huiles sont à mélanger au dentifrice pour l’assainissement de la flore buccale. D’autres peuvent être versées à l’état pur dans la bouche pour le soin des infections buccales comme l’aphte ou la gingivite.

Pour un bain de bouche au naturel, mélangez une goutte d’huile essentielle de citron à une goutte d’huile essentielle de thym. Vous pouvez également y ajouter une goutte d’huile essentielle de sauge. Diluez le tout dans un verre d’eau, et servez-vous en après chaque repas.
Pour traiter une mauvaise haleine d’origine bactérienne, deux gouttes d’huile essentielle de menthe poivrée, de l’huile essentielle de basilic exotique de la même quantité ainsi que de l’essence de citron sont à mélanger à une cuillérée à café d’huile d’olive. Le tout est à consommer avant chaque repas.
Les huiles essentielles de calendula, d’échinacea, de sauge et de thym ont également démontré leur efficacité dans le traitement des inflammation de la gencive (gingivite)

La mauvaise haleine procure un état d’inconfort permanent. De nombreux facteurs peuvent être la source de ce problème organique. Que la mauvaise haleine soit d’origine hygiénique ou infectieuse, les remèdes à base d’huiles essentielles sont toujours les meilleurs moyens de la traiter.
La prolifération des microbes et des bactéries dans l’intérieur buccal est souvent la cause d’une mauvaise haleine. Les plaques dentaires et les zones sublinguales sont les parties les plus ciblées par ces hôtes indésirables. L’usage d’huiles essentielles antibactériennes est ainsi recommandé pour y remédier. Ces huiles essentielles peuvent être utilisées de plusieurs manières. Vous pouvez par exemple les diluer dans de l’eau fraîche pour servir de bain de bouche désinfectant. Certaines huiles sont à mélanger au dentifrice pour l’assainissement de la flore buccale. D’autres peuvent être versées à l’état pur dans la bouche pour le soin des infections buccales comme l’aphte ou la gingivite.

Pour un bain de bouche au naturel, mélangez une goutte d’huile essentielle de citron à une goutte d’huile essentielle de thym. Vous pouvez également y ajouter une goutte d’huile essentielle de sauge. Diluez le tout dans un verre d’eau, et servez-vous en après chaque repas.
Les huiles essentielles de calendula, d’échinacea, de sauge et de thym ont également démontré leur efficacité dans le traitement des inflammation de la gencive (gingivite)
Pour une mauvaise haleine d’origine digestive : deux gouttes d’huile essentielle de menthe poivrée, de l’huile essentielle de basilic exotique de la même quantité ainsi que de l’essence de citron sont à mélanger à une cuillérée à café d’huile d’olive. Le tout est à consommer avant chaque repas.

La recherche médicale, surtout dans le domaine de l’odontologie, privilégie des axes de recherche basés sur les traitements allopathiques de plus en plus complexes, les techniques chirurgicales, la technologie des biomatériaux et des matériels d’analyse et d’examen de plus en plus sophistiqués.

Le patient semble un peu oublié, négligé dans cette débauche de moyens techniques surhumains, et l’on pourrait presque parfois penser que les thérapeutes, en soignant une maladie, oublient de soigner le malade.

Bien peu de chercheurs – surtout représentés par des indépendants agissant dans un cadre privé, en dehors de structures officielles – s’intéressent aux moyens pouvant permettre une rééquilibration en profondeur des terrains individuels.

Et pourtant nous devons nous souvenir que toute maladie, toute pathologie présentent, avant toute action étrangère qu’elle soit traumatique, toxique ou microbienne, une cause intérieure, et négliger cette cause interne strictement propre au malade peut conduire à restreindre l’efficacité du traitement voire à le rendre totalement inopérant.

Le tissu parodontal, qui lui aussi présente des caractères individuels marqués, est une structure complexe, fragile, sujet à des pathologies pouvant conduire à des complications locales ou à distance graves, et dont le traitement est souvent long et difficile, nécessitant de surcroît l’adhésion et la participation responsables du patient.

Les mécanismes de réparation à ce niveau sont également complexes, multifactoriels, et il est dans cette optique de guérison particulièrement indiqué d’appuyer le traitement sur une optimisation naturelle des processus biologiques et physiologiques.

Oligothérapie et phytothérapie trouvent ici un magnifique champ d’application, malheureusement complètement négligé par la grande majorité des thérapeutes.

[lire l’étude complète]

L’hypersensibilité des dents résulte fréquemment des collets dentaires dénudés. Les canaux de la dentine sont découverts et les stimulations extérieures parviennent ainsi directement aux nerfs. Le chlorure de potassium, composant minéral, pénètre dans la dent à travers les canaux de la dentine. Il forme un film protecteur autour des nerfs et développe ainsi son effet apaisant. La sensibilité est ainsi réduite.

La sauge et l’hamamélis enrayent les inflammations et fortifient les gencives, l’extrait de camomille bio a un effet apaisant et traitant. Prévention des saignements de gencives.

Des composants nettoyants doux, à base de gel de silice, enlèvent les plaques bactériennes, sans attaquer l’émail.

[Lu sur Biofficine.com]

Ce dentifrice à la propolis et à l’extrait d’échinacée aide nos dents à rester saines. Le carbonate de calcium et l’acide silicique luttent efficacement contre la plaque dentaire. Un brossage régulier des dents aide à supprimer la plaque dentaire, principale responsable de l’apparition des carries, des parodontoses et du tartre. Les vertus du sel de mer et de différents minéraux associés aux extraits d’arnica, de myrrhe et d’achillée millefeuille présents dans ce dentifrice sont garantes du bon équilibre de la flore bactérienne de votre bouche. Son pH permet de neutraliser les acides qui endommagent les dents et risquent d’attaquer l’émail qui les protègent.

Ce dentifrice aide efficacement à lutter contre le tartre et à l’éloigner en douceur. De part ses qualités antiseptiques et anti bactériennes de la Propolis et de l’Echinacéa, il vous garanti une excellente hygiène buccale. Son Ph, neutralise les acides buccaux nocifs aux dents et aux gencives. Ainsi il aide efficacement à lutter contre les carries et contre la parodontose.

Lu sur biofficine.com