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Archive de novembre, 2011

Médecine fondée il y a plus de 200 ans par le Dr Samuel Hahnemann, l’homéopathie a souvent été sujet à controverse. Beaucoup de choses ont été dites à tort ou à raison à ce sujet. L’homéopathie est une médecine de l’individu, c’est-à-dire que ce qui importe le plus pour le praticien ce n’est pas le diagnostic de l’affection mais la façon dont va réagir le malade. Ainsi pour une même pathologie, les traitements seront différents suivant les patients et leurs réactions à la maladie. C’est ce qui fait l’intérêt de l’homéopathie mais aussi sa difficulté.
Que ce soit pour une simple extraction dentaire, une chirurgie parodontale ou implantaire, l’homéopathie peut être d’une aide précieuse pour le chirurgien dentiste. Tout d’abord en pré-opératoire pour traiter l’anxiété du patient. Suivant la façon qu’a le patient d’exprimer son angoisse, on utilisera différents remèdes. En per-opératoire pour enrayer une hémorragie : c’est un excellent test sur la rapidité d’action d’un remède homéopathique. Enfin en post-opératoire pour faciliter la cicatrisation, diminuer les douleurs ou bien éviter l’apparition d’œdèmes ou de saignement.

le point en vidéo sur une nouvelle discipline, la posturologie étudie les postures humaines et cherche à définir des protocoles de reprogrammation des habitudes posturales acquises, bonnes ou mauvaises, dans un but thérapeutique, professionnel ou sportif.
La posturologie concerne de nombreuses professions médicales et paramédicales comme la podologie, l’art dentaire (occlusodontie), l’orthoptie (rééducation oculaire, non de l’accomodation en posturologie mais des troubles de la convergence), médecins , kinésithérapeutes-physiothérapeutes et ostéopathes…

POSTUROLOGIE Ce que notre posture révèle par postural642433

Comme chaque année, le congrès de l’American Heart Association (qui se tient du 12 a 16 novembre à Orlando, en Floride) est l’occasion pour les spécialistes du cœur de faire le point sur les dernières découvertes en cardiologie. Cette année, il est prévu de mettre l’accent sur la prévention des maladies cardiovasculaires et le dépistage des facteurs de risques.

Parmi les nouvelles mesures de prévention, peut-être faudra-t-il un jour inclure des visites régulières chez le dentiste. Une étude taïwanaise présentée lors du congrès fait en effet état d’une diminution de 24% du risque de crise cardiaque et de 13% du risque d’accident vasculaire chez les personnes qui effectuent un nettoyage -et détartrage- des dents régulier (au moins une fois par an) chez le dentiste.

A prendre en compte, car l’étude a porté sur plus de 50.000 personnes pendant une moyenne de sept ans. L’existence d’un lien entre l’état dentaire et la santé cardiaque est connue depuis longtemps -il y a quelques années encore les futurs opérés à cœur ouvert devaient se faire arracher les dents- mais c’est la première fois qu’il est évalué ainsi.

Le nettoyage régulier des dents permettraient de diminuer la croissance des bactéries gingivales qui peuvent générer un état inflammatoire pouvant favoriser l’apparition d’une maladie cardiovasculaire. « Ces résultats ne sont pas surprenants car il y a de nombreuses études montrant une association entre l’inflammation et les maladies cardiaques », a déclaré le Dr Lawrence Phillips, cardiologue au Langone Medical Center (Etats-Unis) « Une bonne hygiène dentaire est recommandée pour tous les patients », a-t-il ajouté.

J.I.
Sciences et Avenir.fr
09/10/2011

http://www.sciencesetavenir.fr/sante/20111113.OBS4408/aller-chez-le-dentiste-pour-preserver-son-c-ur.html

Le mercure dentaire, un « poison » que l’on trouve en France dans 70% des plombages de molaires ou prémolaires, fait courir des risques graves à la santé et constitue un « nouvel exemple de dysfonctionnement de la sécurité sanitaire », selon des associations.

Plusieurs d’entre elles -Non au mercure dentaire, le Réseau environnement santé (RES), l’Association toxicologie-chimie- ont rencontré la presse à la veille de la tenue du 3ème round des négociations internationales sur le mercure (NC3), à Nairobi du 31 octobre au 4 novembre, sous l’égide du Programme des Nations-Unies sur l’environnement.

Les amalgames contiennent 50% de mercure, et on met chaque année « plus de 17 tonnes de mercure dans la bouche des Français », selon Marie Grosman, de Non au mercure dentaire.

Et pourtant, les fiches de sécurité envoyées par les fabricants aux dentistes sont « extrêmement alarmantes », « des centaines d’études scientifiques » incriminent le mercure dentaire, dit-elle.

« C’est un CMR (cancérogène, mutagène et reprotoxique) », selon le toxicochimiste André Picot. « Il est toxique aussi pour les systèmes nerveux, immunitaire et hormonal », s’amassant toute la vie dans le cerveau, les glandes endocrines, le système cardio-vasculaire… Il est « impossible de définir une dose d’exposition sans danger » pour la population fragile, comme les femmes enceintes et les enfants.

Les dentistes restent sereins.

« C’est un vieux fantasme », dit Jean-Claude Michel. « Il n’y a aucune trace de mercure dans les urines et le sang » des personnes qui ont des amalgames. « Il n’y a jamais eu de preuve scientifique que c’est dangereux pour la santé », assure Roland L’Herron, président de la confédération nationale des syndicats dentaires.

La France « isolée »

Pourtant, le Conseil de l’Europe a adopté en mai une résolution invitant à « la restriction, voire l’interdiction des amalgames comme matériaux d’obturation dentaire »; dans un récent rapport, l’Organisation mondiale de la santé suggère l’utilisation de matériaux alternatifs; la Norvège, la Suède et le Danemark ont même interdit l’amalgame dentaire.

Mais pour le Dr L’Herron, c’est seulement pour des raisons environnementales, pour éviter les rejets de mercure, très polluants. En outre, la demande est moins forte, « pour des raisons esthétiques », dit-il.

Marie Grosman estime que la France reste dans une position « isolée et incohérente ». Car selon elle, si le Plan national santé-environnement 2 demande une réduction de l’exposition au mercure de la population de 30% d’ici 2013, elle est le « seul pays qui s’est officiellement opposé à l’arrêt des amalgames dans l’Union européenne ».

Selon les associations, les produits de remplacement, à base de verre dit ionomère, ont « fait leurs preuves » : ils permettent d’enlever moins de dent, sont aussi bien remboursés que les amalgames, pour une longévité « au moins identique ». Mais ils sont plus compliqués à poser. Selon les dentistes, ils sont « moins résistants à l’abrasion et très sensibles à l’humidité ».

« C’est un nouvel exemple de dysfonctionnement du système de sécurité sanitaire, nous avons plusieurs décennies de retard », dénonce André Cicolella, président du RES, estimant que l’épidémie de maladies chroniques relevée récemment à l’ONU « impose de ne pas retarder l’action publique ».

Faut-il pour autant faire enlever ces amalgames ? Sans doute, mais « très progressivement et de façon très précautionneuse », dit Mme Grossman : une dépose hâtive peut « faire courir de grands risques ».

Sur ce point, les dentistes sont d’accord : « c’est plus dangereux que la pose », reconnaît le Dr Michel.

Pour un boinne hygiène bucco-dentaire, le fil dentaire doit être passé quotidiennement, pour enlever la plaque dentaire au niveau inter-proximal (la zone entre deux dents).
En effet, la brosse à dents ne peut nettoyer cette zone, qui sera donc exposée aux pathologies : caries (appelées ici « caries proximales », au niveau du point de contact des dents) ; gingivite et parodontite.
Le fil dentaire est habituellement en nylon, en téflon ou en polyéthylène.
Il peut être ciré ou non ciré. Le fil ciré est plus facile à passer. Le fil non ciré est plus efficace.
Eco-Dent est une société américaine qui est spécialisé dans les produits dentaires d’après leur site ils n’utilisent que des produits de très haute qualité et aucunes substances chimiques
VeganFloss est un produit naturel à la saveur cannelle. VeganFloss ne contient pas de menthe (il est donc adapté pour les personnes se soignant avec des produits homéopathique) VeganFloss est exempt d’ ingrédients d’origine animale.
Ce fil dentaire est traité avec des enzymes et 14 huiles essentielles naturelles, il est ciré avec du son de riz, pas de cire d’abeille, il est donc en nylon et non pas en soie, pratique, dans un emballage carton recyclable et biodégradable et contient 100mètre de fil par paquet.

En pratique :
Le fil dentaire se présente sous la forme d’une bobine dans une petite boîte. Il faut en prendre une longueur de quarante centimètres environ. Les extrémités sont enroulées autour des index ; le guidage se fait avec les pouces. Le fil tendu est placé entre deux dents ; on effectue un mouvement de va et vient pour passer le point de contact. Quand le fil est dans l’espace inter-proximal, on le plaque contre la face d’une dent puis de l’autre, et on ressort. Il faut faire cela entre toutes les dents.