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La récente législation de l’Union européenne sur les compléments alimentaires inclue le fluor dans la liste des éléments essentiels à apporter comme supplément. Sa valeur thérapeutique – la prévention des caries dentaires – est officiellement la raison pour laquelle on ajoute ce minéral toxique à l’eau du robinet. Mais ses effets secondaires toxiques pourrait être bien plus importants que leurs avantage, comme l’a amplement démontré Paul Connett de l’association « Fluoride Action Network ». Il a cité récemment  l’étude de Jennifer Luke qui fait partie de sa thèse de doctorat et qui vient d’être publiée par Caries Research sous le titre : Le dépôt de fluor dans la glande pinéale de la personne âgée. Le fluor s’accumule dans la glande pinéale. Le fluor, ajouté à l’eau du robinet dans de nombreuses villes et comtés, et vendu par WalMart dans son eau pour nourrissons, a tendance à s’accumuler dans les dents en croissance, provoquant leur décoloration, et dans les os, les fragilisant. Ce minéral, s’accumulerait aussi dans la glande pinéale, un centre de contrôle hormonal important, où il ferait des ravages considérables.  Voici les propos de Paul Connett :
« De mon point de vue, ce travail est d’une importance fondamentale et pourrait être (ou devrait être) la goutte scientifique qui fait déborder le vase de la fluoration.

Quand Luke a découvert que la glande pinéale – une petite glande dans le centre du cerveau, responsable de la régulation d’un grand nombre de fonctions (elle produit la sérotonine et la mélatonine) – est aussi un tissu qui se calcifie, comme les dents et les os, elle émit l’hypothèse qu’elle concentre aussi le fluor à des niveaux très élevés. La glande n’est pas protégée par la barrière hémato-encéphalique et a un très haut débit de perfusion sanguine, devancé seulement par les reins.

Luke a fait analyser 11 corps au Royaume-Uni. Comme elle l’avait prévu, elle découvrit des niveaux astronomiques de fluor dans les cristaux d’hydroxyapatite de calcium produits par la glande. La moyenne était de 9000 ppm, allant jusqu’à 21,000 dans un cas. Ces niveaux sont équivalent ou plus élevés que ceux des os des personnes atteintes de fluorose osseuse. Ce sont ces découvertes qui viennent d’être publiées.

Ce sont les répercussions de ces découvertes qui n’ont pas encore été publiées. Dans la seconde moitié de son travail, elle traita des animaux (gerbilles de Mongolie) au fluor dans une unité de recherche sur la glande pinéale de l’Université de Surrey, en Angleterre (on ne peut donc pas douter de la qualité de son travail). Elle a constaté que la production de mélatonine (telle que mesurée par la concentration d’un métabolite de mélatonine dans l’urine) était plus faible chez les animaux traités avec de fortes doses de fluor que chez ceux traités avec de faibles doses.

Luke émit l’hypothèse que l’une des quatre enzymes nécessaires à la conversion de l’acide aminé tryptophane (présent dans l’alimentation) en mélatonine est inhibée par le fluor. Ce pourrait être l’une des deux enzymes qui convertissent le tryptophane en sérotonine ou l’une des deux autres qui convertissent la sérotonine en mélatonine.

L’importance ? Énorme. La mélatonine est responsable de la régulation de toutes sortes de fonctions et une grande quantité de travaux se penchent sur son rôle potentiel dans le vieillissement, le cancer et de nombreux autres processus vitaux. Une des fonctions qui intéresse particulièrement Luke, est le déclenchement de la puberté. Les niveaux les plus élevés de mélatonine (produits seulement la nuit) se rencontrent chez les jeunes enfants. On pense que c’est la chute de ces niveaux de mélatonine agissant comme une horloge biologique qui déclenchent le début de la puberté. Dans son étude sur les gerbilles, elle constata que les animaux traités avec de fortes doses de fluor atteignaient la puberté plus tôt que ceux traités avec de faibles doses.

Nous savons par des études récentes – et une couverture médiatique considérable – que les jeunes filles atteignent de plus en plus tôt la puberté aux États-Unis. Luke n’affirme pas que le fluor (ou la fluoration) en est la cause, mais son travail est un signal d’alarme très préoccupant. Le rôle du fluor dans la puberté demande une enquête plus approfondie. Il est intéressant de noter que lors du combat sur la fluoration entre les villes de Newburgh et Kingston (1945-1955), il fut constaté que les filles de Newburgh buvant de l’eau fluorée avaient leurs premières menstruations en moyenne cinq mois avant les filles de Kingston buvant de l’eau non-fluorée, mais on pensa à l’époque que ce n’était pas important (Schlessinger et al, 1956).

Si l’on considère la gravité de la possible interférence du fluor sur la glande pinéale d’un enfant en croissance (et d’ailleurs aussi sur les glandes pinéales des personnes âgées), on perçoit toute l’imprudence de la fluoration. Le principe de précaution, de même que le bon sens, voudrait qu’on ne prenne pas ces risques sur les enfants pour un bénéfice qui, au mieux, s’élève à 0,6 surface dentaire sur 128 surfaces dentaires dans la bouche de l’enfant (Brunelli et Carlos, 1990, tableau 6).

Je possède un exemplaire de la thèse de Luke et je suis prêt à le partager avec ceux qui ont un intérêt scientifique sérieux en ce sujet. Vous pouvez retrouver les autres références citées ici dans ma Déclaration d’intérêt également publiée sur la page de Fluoration Action Network.

Paul Connett »

http://www.mbetv.com/le-fluor-s%E2%80%99accumule-dans-la-glande-pineale

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