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Archive de la catégorie 'SANTE DENTAIRE / GENERALE'

[lu sur IDWeblogs] 
L’occlusion est-elle en relation avec un acouphène ?
Madame Andrée L. 81 ans consulte de la part de son chirurgien dentiste pour des « acouphènes invalidants ». Cette patiente, très dynamique pour son âge, souffre depuis plus de 10 ans d’acouphènes violents et de surdité progressive qu’elle associe à ces acouphènes. Elle dit vivre un calvaire d’autant que sa surdité la coupe de toute vie sociale. Elle a consulté des ORL sans aucune amélioration et apparemment sans diagnostic. Son médecin a renoncé à pouvoir la soulager et elle n’a plus d’espoir. L’acouphène se manifeste par un sifflement continuel, augmenté par la position allongée. La patiente dit être assourdie par le bruit de l’acouphène. Il existerait un gonflement maxillaire gauche au réveil. La patiente qui a été très stressée en 1997-1998 à la suite du décès de son mari, se dit aujourd’hui plus calme, si ce n’était cet acouphène. [lire la suite]

HELSINKI, Finlande : Des chercheurs en Finlande ont étudié le rôle d’une bactérie fortement associée à la parodontite dans le développement de certains cancers notamment des voies orales. Dans une seconde étude, ils ont aussi constaté un lien entre la parodontite et la mortalité par cancer au niveau de la population.

La première étude a prouvé l’existence d’un mécanisme au niveau moléculaire par lequel une bactérie associée à la parodontite, Treponema denticola , pourrait aussi contribuer à la cancérogenèse . Les chercheurs ont découvert que le facteur de virulence primaire de T. denticola , la chymotrypsine- like proteinase , pourrait également produire des tumeurs malignes du tube digestif, comme par exemple dans le cas du cancer du pancréas . Selon la conclusion d’une autre étude, l’enzyme a la capacité d’activer d’autres enzymes que les cellules cancéreuses utilisent pour envahir un tissu sain. En même temps, la protéinase réduit l’efficacité du système immunitaire, par exemple, en inactivant des molécules connues comme inhibiteurs de ces enzymes.

La seconde étude a démontré que cette parodontite est clairement associée à la mortalité par cancer au niveau de la population, notamment au cancer du pancréas. Cette analyse a été menée sur un panel de 70 000 personnes suivi durant une période de dix ans.

« Ces études ont pour la première fois démontré que les facteurs de virulence du principal pathogène des bactéries des affections sous-jacentes des gencives sont capables de se propager de la bouche à d’autres parties du corps, la plupart de ces facteurs sont probablement en conjonction avec les bactéries, et pourraient être en cause dans les principaux mécanismes de destruction des tissus liée au cancer », a déclaré le professeur Timo Sorsa de l’Université d’Helsinki.

Les chercheurs ont conclu qu’un faible niveau de cette inflammation systémique liée à la parodontite facilite la propagation des bactéries buccales et de leurs facteurs de virulence à d’autres parties du corps. Ils ont souligné que la prévention et le diagnostic précoce de la parodontite sont très importants, tant pour la santé bucco – dentaire des patients que pour leur bien-être en globalité.

« À long terme, cela est extrêmement rentable pour la société », a noté le Prof. Timo Sorsa.

Les études ont été menées par des groupes de recherches dirigés par le Prof. Timo Sorsa, le Prof. Caj Haglund , le Dr Jari Haukka et le Dr Jaana Hagström de l’ Université d’Helsinki.

La première étude, intitulée « Treponema denticola la chymotrypsine- like proteinase pourrait contribuer à la carcinogenèse aérodigestive par modulation des immunités » (Treponema denticola chymotrypsin-like proteinase may contribute to orodigestive carcinogenesis through immunomodulation), a fait l’objet d’une publication en ligne le 16 novembre 2017 dans le British Journal of Cancer. La deuxième étude, intitulée « Parodontite et mortalité par cancer : Basé sur le registre cohorte d’une étude de 68 273 adultes suivis pendant 10 ans »( Periodontitis and cancer mortality: Register-based cohort study of 68 273 adults in 10-year follow-up) , a été publiée en ligne le 11 janvier 2018 dans la revue International Journal of Cancer .

D’autres études sont déjà en cours à la fois à l’Université d’Helsinki et à l’Institut Karolinska Institutet .

 

Des bactéries responsables de la parodontite pourraient également être impliquées dans des cancers

Des chercheurs de l’Université de Louisville (Kentucky, Etats-Unis) et de l’Université des Sciences et des Technologies du Henan (Chine) ont détecté chez des patients vitimes d’un cancer de l’oesophage la présence d’une bactérie au niveau du parodonte (l’ensemble de tissus qui soutiennent la dent). Elle se manifesterait particulièrement lorsque les tissus sont inflammés (parodontite).
Pour aboutir à ce résultat, les chercheurs ont effectué des prélèvements sur la tumeur et les tissus adjacents de 100 patients souffrant d’un cancer de l’œsophage et 30 témoins en bonne santé.
Ils ont trouvé la bactérie « Porphyromonas gingivalis » dans 61% des prélèvements autour des tumeurs , 12% des prélèvements sur les tissus adjacents, et 0% sur les témoins en bonne santé. La présence de la bactérie serait d’autant plus importante dans le cas d’un cancer à stade avancé.
Ces résultats sont la première preuve que l’infection au « P. gingivalis » pourrait être un facteur de risque de cancer de l’oesophage, et pourrait également servir de biomarqueur pour pronostiquer ce type de cancer », a déclaré Huizhi Wang, MD, professeur à l’école de médecine dentaire de UofL (Etats-Unis), selon le site New-medical .  »
En savoir plus sur http://www.medisite.fr//a-la-une-attention-a-ce-probleme-dentaire-il-peut-reveler-un-cancer-de-loesophage.1029156.2035.html#cGbfcUmrHd2j9xc2.99

En savoir plus sur http://www.medisite.fr//a-la-une-attention-a-ce-probleme-dentaire-il-peut-reveler-un-cancer-de-loesophage.1029156.2035.html#cGbfcUmrHd2j9xc2.99

Les chercheurs américains ont découvert une association entre certaines formes d’accident vasculaire cérébral (AVC) et la présence de bactéries dans la bouche.

Une bactérie présente dans la bouche (Streptococcus mutans) pourrait être responsable d’un certain nombre d’accidents vasculaires cérébraux (AVC) incluant les hémorragies du cerveau ou les formes qui prédisposent à la démence . C’est ce que le Professeur Robert Friedland, professeur de neurologie à l’Université de Louisville (Etats-Unis) et son équipe ont découvert en suivant une cohorte de patients admis à l’hôpital pour un AVC .

« Parmi les patients ayant subi une hémorragie intracérébrale (HIC), 26% étaient porteurs d’une bactérie spécifique dans leur salive : la bactérie CNM-positif S. mutans, connue pour causer des caries dentaires . Tandis que dans le groupe de patients ayant souffert d’un autre type d’AVC, seulement 6% ont été testés positifs pour cette bactérie » annonce le médecin.

En poursuivant leurs recherches, les scientifiques ont également découvert que chez les personnes souffrant de petites hémorragies cérébrales qui peuvent causer une forme de démence ou un AVC ischémique , un grand nombre étaient porteuses de cette même bactérie. « Cette étude montre que la santé bucco-dentaire est importante non seulement pour la bonne santé des dents et du cœur mais aussi pour la santé du cerveau » insiste le médecin.

Ce dernier va poursuivre ses recherches sur le rôle des bactéries bucco-dentaires dans le développement d’autres maladies comme la maladie d’Alzheimer et la maladie de Parkinson , en collaboration avec des chercheurs de Grande-Bretagne et du Japon.

Source : http://www.topsante.com/medecine/troubles-cardiovasculaires/avc/prevenir/une-mauvaise-hygiene-dentaire-liee-au-risque-d-avc-609632?platform=hootsuite

n-BAD-BREATH-large570Sera-t-il bientôt possible de dépister le cancer de l’estomac grâce à un simple échantillon d’haleine? C’est en tout cas ce qu’affirme une étude publiée dans GUT, une revue internationale de référence en gastro-entérologie. Un exploit scientifique qui pourrait permettre de sauver un grand nombre de vies.

Les chercheurs de l’Institut Russell Berrie en Israël ont mis au point une nouvelle technologie capable de déceler des composés dans l’air expiré. Cette dernière pourrait s’avérer être un moyen efficace de détecter le cancer de l’estomac, qui est l’un de ceux qui fait le plus de victimes avec 1,4 millions de morts chaque année, d’après le site canadien Accrosanté. Hossam Haick, chef de laboratoire à l’Institut, interprète ce chiffre inquiétant dans Newsmax par le fait que “la plupart des gens sont diagnostiqués quand il est trop tard pour les sauver”. En général, cela n’arrive en effet que lorsque la tumeur s’est déjà propagée dans d’autres parties du corps.

Une détection assez tôt pourrait changer la donne

L’American Cancer Society estime que le taux de survie à 5 ans des patients tourne actuellement autour de 28%, rappelle Fox News. Or, si la maladie est repérée suffisamment tôt, il s’élève à 64%. S’il n’existe aujourd’hui aucune manière de détecter le cancer de l’estomac prématurément, cette technologie pourrait faire évoluer les choses. Afin de la tester, des échantillons d’haleine ont été collectés auprès de 484 personnes, dont 99 atteintes de la maladie. Ils ont ensuite été soumis à une nanotechnologie, qui analyse un ensemble d’atomes appelés nanoréseaux. Dans ce cas précis, ce sont les atomes contenus dans les échantillons d’haleine qui ont été examinés, puis passés au crible par un ordinateur qui cherche la quantité de composés spécifiques liés au cancer de l’estomac.

http://www.huffingtonpost.fr/2015/04/15/cancer-estomac-science-chercheurs-depistage-echantillon-haleine_n_7068918.html

Le Dr Carlos Planas dentiste espagnol de Barcelone et petit fils du Dr Pedro Planas, le père de la Réhabilitation Neuro-occlusale est interviewé par Déborah Donnier dans le cadre du congrès « Congrès Quantique Planète – Aix 2014 ».
Une mauvaise mastication peut entraîner une déformation au niveau des mâchoires, des malpositions d’une ou plusieurs dents, des disfonctions qui peuvent par la suite entraîner certaines pathologies qui ne semblent pas liées au départ à la dentition.
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On n’attend pas d’avoir les cheveux aux chevilles pour aller chez le coiffeur. Eh bien c’est à peu près la même chose avec le dentiste: mieux vaut ne pas laisser ses dents se recouvrir de tartre pour consulter. Pourtant, un Français sur deux (54%)* avoue ne pas avoir le réflexe du rendez-vous annuel en cabinet. Pire, 18% d’entre eux ne sont pas familiers du brossage quotidien. Réuni cette semaine à Paris à l’occasion du congrès de l’association dentaire française (ADF), un collectif de professionnels insiste sur les dangers potentiels d’une telle négligence, non seulement sur la santé bucco-dentaire, mais aussi sur notre santé générale.

On n’attend pas d’avoir les cheveux aux chevilles pour aller chez le coiffeur. Eh bien c’est à peu près la même chose avec le dentiste: mieux vaut ne pas laisser ses dents se recouvrir de tartre pour consulter. Pourtant, un Français sur deux (54%)* avoue ne pas avoir le réflexe du rendez-vous annuel en cabinet. Pire, 18% d’entre eux ne sont pas familiers du brossage quotidien. Réuni cette semaine à Paris à l’occasion du congrès de l’association dentaire française (ADF), un collectif de professionnels insiste sur les dangers potentiels d’une telle négligence, non seulement sur la santé bucco-dentaire, mais aussi sur notre santé générale.

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Selon une étude menée par l’université Nihon au Japon sur 524 personnes âgées en moyenne de 88 ans, porter son appareil dentaire la nuit est associé à un risque plus élevé de pneumonie. En cause, une charge inflammatoire et microbienne beaucoup plus importante la nuit.

http://www.medisite.fr/a-la-une-pourquoi-il-ne-faut-pas-garder-sa-prothese-dentaire-la-nuit.708396.2035.html

Selon une étude internationale, menée par le CNRS, l’Institut Pasteur de Lille et l’Imperial College London, l’obésité serait liée à la composition de notre salive. Explications pour y voir plus clair.
La composition de notre salive aurait-elle une incidence sur notre poids ? Selon une étude internationale parue dimanche dans la revue spécialisée Nature Genetics, menée par le CNRS, l’Institut Pasteur de Lille et l’Imperial College London, le déficit d’une enzyme, l’amylase salivaire, favoriserait la propension à devenir obèse. Comment et pourquoi ? Explications.
Qu’est-ce que l’amylase ?
L’amylase est une enzyme présente dans la salive. Elle sert à digérer des sucres complexes, que l’on trouve notamment dans les pâtes et le riz. Chaque personne possède plus ou moins de copies de ce gène de l’amylase salivaire, avec des variations allant de une à vingt copies. Selon l’étude citée précédemment, et coordonnée par le docteur Philippe Froguel, les personnes qui ont le plus petit nombre de ces copies présenteraient un risque dix fois plus important de devenir obèses. Chaque copie de ce gène en moins augmenterait même de 20% le risque d’obésité.

Quel est son lien avec l’obésité ?
Première hypothèse avancée par l’étude : la mastication des aliments et leur gestion partielle dans la bouche pourrait avoir un effet hormonal, qui entraînerait un sentiment de satiété moindre chez les personnes ayant moins d’amylase dans leur salive. Deuxième hypothèse : la mauvaise digestion des amidons (ou sucres complexes), en partie liée à l’amylase salivaire, pourrait modifier la flore intestinale et contribuer à l’obésité, voire au diabète. Selon l’étude, les personnes possédant peu d’amylase dans leur salive présenteraient en effet une glycémie anormalement élevée, lorsqu’ils mangent de l’amidon.
http://lci.tf1.fr/science/sante/l-obesite-serait-liee-a-la-composition-de-notre-salive-8392333.html

Parler d’arthrite dentaire est un abus de langage. On ne parle pas d’arthrite dentaire. En revanche, dans les facteurs environnementaux, hormis le tabac, a été mis en évidence le rôle d’un mauvais état bucco-dentaire dans le facteur de risque de voir survenir une arthrite rhumatoïde.
Selon Dr Jean-Marc Ziza, rhumatologue, Un mauvais état bucco-dentaire entraîne une inflammation chronique. Le rôle d’un mauvais état bucco-dentaire a été prouvé dans la polyarthrite rhumatoïde.


Rôle de la mauvaise hygiène dentaire dans la… par dentisfuturis