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Archive de la catégorie 'DENTISTERIE HOLISTIQUE'

Extraits du DVD « Ouvrez les yeux » du Dr Dieuzaide à propos des effets sur la santé du parasitage électromagnétique. Amalgames dentaires, composites, couronnes, zircone, lunettes, stérilet, bijoux, tout est concerné.

« Le mouvement de l’information dans le corps » À Rambouillet 8.5.2009, Xème congrès international de médecine énergétique dentaire ODENTH

(…)Notre monde est menacé par une crise dont l’ampleur semble échapper à ceux qui ont le pouvoir de prendre de grandes décisions pour le bien ou pour le mal. La puissance déchaînée de l’homme a tout changé, sauf nos modes de pensées et nous glissons vers une catastrophe sans précédent. Une nouvelle façon de penser est essentielle si l’humanité veut vivre. Détourner cette menace est le problème le plus urgent de notre temps. » (Albert Einstein).


Conférence de Jacqueline Bousquet – ODENTH from Arsitra on Vimeo.

De tout temps les nouvelles théories ont été systématiquement rejetées par la communauté scientifique en place avant d’être enfin validées.
Elles sont le plus souvent décriées et combattues avec acharnement par ceux dont la gloire et les intérêts financiers sont menacés par un bouleversement qui met en péril leur pouvoir et leur crédibilité jusqu’alors incontestés.
Or, certaines disciplines de la recherche sont aujourd’hui totalement obsolètes au regard de la théorie des champs informationnels et nombreux sont ceux qui souhaiteraient que les éminents travaux de J. Bousquet ne voient jamais le jour…

Cependant, si une théorie se voit confirmée par la pratique dans des domaines aussi divers que la physique, la biologie, la médecine, la psychologie, l’agriculture, l’habitat, l’élevage, la santé, l’alimentation, le son, etc., qu’elle révolutionne et concerne tous les domaines essentiels de la vie, « de l’atome à l’étoile, en passant par le vivant », peut-on alors continuer à la réfuter ?
Comment ignorer encore que la matière est créée par les énormes décharges électriques qui parcourent le ciel ?
C’est sans nul doute que Jacqueline Bousquet voit ici ses travaux validés sans contestation par l’application de ses recherches dans de multiples disciplines que nous souhaitons vous faire partager dans les semaines à venir.
Les personnes qui, par leur pratique sur le terrain souhaiteraient apporter des témoignages concrets susceptibles d’enrichir le présent recueil peuvent nous les faire parvenir par e-mail : jb@arsitra.org nous publierons ceux qui nous paraîtront être les mieux argumentés.

source et commentaires :http://www.arsitra.org/yacs/sections/view.php/54/a-propos-du-texte-de-j.-bousquet-171-introduction-de-la-conscience-dans-la-mati-200-re-187-de-la-physique-quantique-224-la-biologie

Certains auteurs stigmatisent le rôle déterminant des « irritations » dentaires sur tout l’organisme. Au début du siècle, Pétrovitch Pavlov le constata en laboratoire. Lors de ses fameuses expériences relatives au « réflexe conditionné » il blessa la gueule du chien pour obtenir des fistules salivaires. Il s’étonna de l’apparition de « phénomènes pathologiques généraux étranges ». Il vit « se développer des maladies de la peau, des crispations, un cas de paralysie à évolution aiguë (10 à 20 jours), ainsi qu’une affection cérébrale (forte induration), avec troubles du comportement; puis, des phénomènes de choc conduisaient à une prostration temporaire simulant totalement la mort. » Au cours d’une conférence magistrale, Pavlov parla des travaux de son collègue Alexei Dmitrievitch Speranskii sur certains segments de l’encéphale du chien. L’œuvre de Speranskii occupe une place importante dans l’enrichissement de la pensée médicale et philosophique; il convient ici d’en résumer brièvement la substance expérimentale. L’inclusion d’un corps étranger dans un site innervé, central ou périphérique, tel le cerveau ou la dent du chien, provoquait une dégradation des tissus. Le processus se propageait dans tout l’organisme. L’irritation chimique ou physique, la blessure chirurgicale ou le traumatisme, provoqués par l’expérience, déterminaient à distance, une lésion viscérale ou un trouble fonctionnel irréversible.  Ce résultat avait surpris Pavlov ; mais Speranskii l’explorait et l’analysait. Fait caractéristique, l’autopsie du chien révélait, à partir du point d’impact irritatif, la présence de chapelets de lésions le long des nerfs, jusqu’au cerveau et, de là, aux organes. Expérience d’une importance primordiale pour le médecin et le biologiste, l’inclusion d’une bille de verre stérile dans la dent ou dans un tissu innervé, périphérique ou central, engendrait des dégradations dans tout l’organisme. En laboratoire, l’incisive d’un rat est chargée de billes en plastique marquées au carbone 14 radioactif. Elles ne dépassent pas la grandeur d’un microbe (un millième de millimètre). Le carbone s’accumule dans le foie, les reins, la rate, les poumons et les glandes surrénales. Il se retrouve dans les glandes salivaires, dans les ganglions lymphatiques du même côté. L’oxyde de plomb, contenu dans la matière d’obturation du canal intraradiculaire, se retrouve dans le sang, le foie, les reins, la rate, les glandes surrénales et dans le cerveau.

Dans des spécifités non infectieuses de la pathologie générale se dessine donc une voie vasculaire. Des microsubstances antigéniques, contenues dans la dent dégradée, cariée ou soignée, peuvent passer dans le courant circulatoire… On provoque chez l’animal, par irritation physique ou chimique des nerfs dentaires et péri-dentaires, des infarctus du myocarde, des accidents vasculaires brutaux, artérites et obs-tructions vasculaires, saignements du tube digestif, hépatites, cystites, troubles rénaux, maladies de peau, accidents pulmo-naires, oculaires, articulaires… Ces expériences mettent en évidence un riche complexe dento-sensoriel. Les dérangements ou les dégradations bucco-dentaires, les moindres informations reçues par les terminaisons nerveuses périphériques, se transmettent au système central. Le message dentaire a donc un pouvoir sur la décision cérébrale.

A l’état normal, il existe une correspondance dent-cerveau mise en évidence sur les animaux de laboratoire, en particulier depuis les canines. L’irritation nerveuse, partie de la réception dentaire, engendre d’incessantes réponses centrifuges ; elles parasitent les organes et les fonctions. Cette dernière précision corrobore l’étonnement de Pavlov, et conforte l’autorité des faits expérimentaux de Speranskii.

Depuis, des chercheurs attestent que l’établissement de certaines maladies générales dépend de lacunes neurologiques gingivo-dentaires. Ce que l’on pourrait appeler « l’effet Speranskii » affermit aujourd’hui le diagnostic stomatologique. « Le nerf trijumeau est le plus réflexogène de l’organisme ». « Nerf essentiel », il électrifie l’œil, les os maxillaires, les dents, les gencives. Sa connection bulbaire, la plus volumineuse des troncs nerveux à la base du cerveau, répercute des pulsions parasites dans tout l’organisme, lorsque l’extrémité dentaire est irritée. Ses ramifications s’entrelacent avec les fibres d’autres réseaux nerveux profonds et périphériques. La dégradation ou l’irritation indolore d’une fibre du nerf trijumeau retentit sur les organes des sens : peau, œil, oreille, nez, langue. Au contraire, l’altération des cinq sens, en particulier de l’œil, sous la dépendance majeure du nerf trijumeau, n’influence en rien la structure ou la fonction du système dentaire.

A ce titre, le nerf dentaire procède d’un « Super-Sens », d’une sorte de « Sixième Sens »… N’importe quelle dégradation bucco-dentaire, traumatique ou inflammatoire, se reflète sur le système sympathique. De surcroît, aux signaux venus du système nerveux gingivo-dentaire, s’ajoutent ceux de la lymphe ; par le truchement des vaisseaux et des ganglions, elle gagne la conduction vertébrale, riche de tissus nerveux réflexe. Le nerf sympathique, en rapport avec ses terminaisons périphériques avec le trijumeau, commande les organes. Il a son origine dans la moelle, sort par les vertèbres et, comme le circuit lympathique, longe les vertèbres. La perturbation de son influx réflexe retentit sur toutes les fonctions. Pour exemple, on connaît depuis toujours les cris, les fièvres, les troubles digestifs et les convulsions du nourrisson lors de la percée difficile des dents. Chez l’enfant et l’adulte aux dents irritatives, la pulsion perturbatrice se propage le long des étages vertébraux; elle détermine des manifestations pathologiques chroniques : articulations, vertèbres et côtes douloureuses, dorsalgie, lombalgie, vertige, migraine, rhinite, indigestion, constipation, trouble du rythme cardiaque… Des désordres neuro-végétatifs et des maladies générales se lient à un parasitisme bucco-dentaire latent. Ces quelques rapports rudimentaires, relatifs aux pulsions bioélectriques parasitées le long des nerfs, complètent des schémas anciens moins élaborés mais éloquents. Au 2e siècle, Galien traitait le sophiste Pausanias souffrant d’une anesthésie des deux derniers doigts de la main droite. « Quiconque désire savoir, écrivait-il, à quelle vertèbre ou à quel nerf attribuer l’origine d’une affection, doit bien étudier l’épine dorsale, sinon il est impossible de déterminer où se trouve cet état, à quelle vertèbre se situe la cause, et à quelle paire de nerfs remonte l’origine ». Il recherchait une cause à distance d’un symptôme, en méconnaissant la primordiale « origine » dentaire ; elle peut déterminer la pulsion neuro-vertébrale défectueuse, et gêner la fonction d’un organe, d’un muscle ou d’une articulation. A partir des maxillaires supérieurs, l’irritation du système nerveux sensibilise les trois premières vertèbres cervicales; celle de la mandibule se répercute sur les autres étages vertébraux. A la palpation, ces segments deviennent douloureux. A la limite des conductions maxillaires et mandibulaires, l’enchevêtrement des liaisons et l’interférence d’autres parasites électro-nerveux semblent brouiller les messages, en particulier lorsque la lésion maxillo-dentaire est ancienne. L’irritation bucco-dentaire chronique, constante, physique ou chimique, par tartre, débris dentaire ou substance étrangère, provoque des troubles généraux semblables : douleurs, vasodilatation, œdème, tumeur, rupture vasculaire, vieillissement prématuré des tissus ; les multiples fonctions hépatiques ou celles des autres organes essentiels peuvent se dérégler. La maladie se constitue secondairement. Le dramatique « troisième acte » (selon l’expression de Leriche) du trouble général irréversible se prépare. Lors, la lésion des organes, les suites de traumatisme ou d’intervention chirurgicale risquent de se dramatiser. L’inflammation d’un disque entre les vertèbres peut influencer tout le système nerveux réflexe et même le cerveau.

Les expériences montrent que, lorsque les fibres nerveuses, qui électrifient les fonctions végétatives des viscères, dégénèrent, il se crée un « état de prédisposition du terrain vis-à-vis d’irritants de toutes sortes, sans spécificité du facteur nocif». La cinquième vertèbre lombaire peut subir des flexions anormales ou forcées. La répétition de surcharges ou certaines déformations professionnelles progressives disloquent certaines cellules musculaires ou celles des tissus vertébro-articu-laires. Les constantes émanations du foyer dentaire s’y fixent ; la douleur avec la hernie discale, la tendinite, la lombalgie peuvent en dépendre. Dans les mâchoires, les fines fibres nerveuses « périphériques » intra et péridentaires jouent donc un rôle réflexe bien plus important dans les réactions générales que ne le soutient la pensée habituelle. Nous avons vu que, depuis le « foyer », des lésions marquent le trajet nerveux jusqu’à la colonne vertébrale et le cerveau ; elles progressent vers les muscles, les articulations et les organes. Mais il est impossible pour l’instant de percevoir sur le vivant humain le cheminement de la dégradation cellulaire. Toutefois, le constat stomatologique met en valeur le rapport foyer dentaire-inflammation discale : car la douleur vertébrale ou au crâne, l’essoufflement, le symptôme organique, musculaire ou articulaire peuvent disparaître lors du test gingivo-dentaire1, ou à la suite de l’évacuation de l’irritation bucco-dentaire. Cette relation de cause à effet s’accorde avec l’objectivité de la recherche expérimentale sur les animaux de laboratoire.

De toute évidence, l’extrémité dentaire irritée est donc déterminante; cependant les effets généraux répondent de mécanismes dont nous ne connaissons qu’une partie de la complexité. Depuis l’évolution des germes dentaires dans l’os et sous la gencive, depuis le phénomène de dentition, le circuit électro-physique de chaque dent et des tissus qui la soutiennent se schématise en un système terminal électronique ouvert, sensible aux moindres informations lacunaires. Chaque cellule électrique du corps humain additionne les influences reçues des autres cellules nerveuses. Sans se contac-ter, elles se terminent dans une solution aqueuse. La pulsion électrophysique le long des fibres nerveuses se transmet, d’une terminaison nerveuse à la suivante, par échange chimique dans la solution intercellulaire. On parle de synapse (du grec, j’attache) pour désigner la transmission physico-chimique d’un neurone’à l’autre. Le temps d’exercice de la synapse est de l’ordre du millième de seconde.

Le long des trajets nerveux, la pulsion se transmet à la vitesse de 80 mètres à la seconde. Cette relative rapidité de la transmission du message, depuis le site dentaire jusqu’à la réception centrale, explique l’instantanéité de la disparition de la douleur à distance du foyer neutralisé (comme nous le verrons avec le test stomatologique). Les échanges d’ions métalliques dans un bain électrolytique et le courant électrique dans les câbles en rappellent grossièrement le schéma simplifié. Mais, dans les tissus vivants, le processus se complexifie en présence d’hormones et d’enzymes, substances spécifiques de chaque type de cellule nerveuse. Les enzymes sont des médiateurs chimiques contenus dans des microvésicules; elles se tiennent dans le milieu liquide au voisinage de chaque extrémité (dentrite) du neurone ; s’ajoute l’action du calcium organique ; il libère les enzymes et facilite l’action des hormones. L’adrénaline, la sérotonine ou l’hista-mine activent ou freinent les séquences synaptiques. Les toxines venues de la dent ou des gencives infectées dénaturent le milieu liquide ; elles gênent ou rendent impossibles les mécanismes enzymatiques et hormonaux. De ce fait, elles constituent un facteur de dérégulation de la pulsion nerveuse. Lors, le trouble gagne le système vertébral et cérébral ; de là, il retentit sur la dynamique réflexe, immunitaire, végétative, métabolique et psychique1. Indice complémentaire : tout comme les productions bacté-riennes, certains produits chimiques de la thérapeutique intra-dentaire se diffusent dans le tissu nerveux comme l’eau dans une éponge. Il peut exister une perturbation tissulaire indélébile, occasionnée par la diffusion de produits nocifs. Les substances toxiques, appliquées pour certaines « dévitalisa-tions » imprègnent les tissus environnants ; au cours des années suivantes, leurs traces entretiennent une nécrose diffuse ; elle se poursuit même après extraction de la dent traitée. Forte de la dynamique physico-chimique, la pharmacopée, dans le domaine de la neuropsychologie, utilise de nouveaux produits excitateurs ou inhibiteurs des pulsions électrochimiques dans les cellules cérébrales. Tout le monde connaît les neuroleptiques, les anxiolytiques, les tranquillisants et les euphorisants. Dans le droit fil de leur influence, la pharmaco-dynamie supplée les défectuosités du calcium, du potassium et du sodium dans la conduction neuroélectrique. A l’instar de cette dysfonction biochimique, les toxines bactériennes, sorties de certaines dents dégradées ou soignées, imprègnent le tissu nerveux; elles dérégulent le mécanisme des récepteurs du potassium, du calcium et du sodium; elles compromettent donc l’harmonie des relations cellulaires. Tout se passe, en quelque sorte, comme pour des électrons qui gravitent autour d’un noyau atomique. Des particules déséquilibrantes se déplacent à distance par des voies vasculaires, lymphatiques et nerveuses, en conservant leur dépendance vis-à-vis de l’épicentre bucco-dentaire perturbateur.

 

Source livre du Dr Davo Koubi – La santé dans votre bouche –  Les dents gouvernent votre équilibre