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La recherche médicale, surtout dans le domaine de l’odontologie, privilégie des axes de recherche basés sur les traitements allopathiques de plus en plus complexes, les techniques chirurgicales, la technologie des biomatériaux et des matériels d’analyse et d’examen de plus en plus sophistiqués.

Le patient semble un peu oublié, négligé dans cette débauche de moyens techniques surhumains, et l’on pourrait presque parfois penser que les thérapeutes, en soignant une maladie, oublient de soigner le malade.

Bien peu de chercheurs – surtout représentés par des indépendants agissant dans un cadre privé, en dehors de structures officielles – s’intéressent aux moyens pouvant permettre une rééquilibration en profondeur des terrains individuels.

Et pourtant nous devons nous souvenir que toute maladie, toute pathologie présentent, avant toute action étrangère qu’elle soit traumatique, toxique ou microbienne, une cause intérieure, et négliger cette cause interne strictement propre au malade peut conduire à restreindre l’efficacité du traitement voire à le rendre totalement inopérant.

Le tissu parodontal, qui lui aussi présente des caractères individuels marqués, est une structure complexe, fragile, sujet à des pathologies pouvant conduire à des complications locales ou à distance graves, et dont le traitement est souvent long et difficile, nécessitant de surcroît l’adhésion et la participation responsables du patient.

Les mécanismes de réparation à ce niveau sont également complexes, multifactoriels, et il est dans cette optique de guérison particulièrement indiqué d’appuyer le traitement sur une optimisation naturelle des processus biologiques et physiologiques.

Oligothérapie et phytothérapie trouvent ici un magnifique champ d’application, malheureusement complètement négligé par la grande majorité des thérapeutes.

[lire l’étude complète]

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